Elevons le débat
C'est pas tout de parler de bouffe tout le temps sur ce blog, ça serait bien de se nourrir les neurones, aussi.
Bon.
Je continue ma série sur les "Petites phrases pour traverser la vie en cas de tempête... et par beau temps aussi" (Christine Orban - oui, je sais Philémon, y a Confucius qui s'ennuie un peu, mais bon, depuis le temps...).
Parce que c'est pas les philosophes du boulot (enfin ceux qui bossent, je parle même pas des bouseux qui ont pris trois semaines de vacances dans le Sud, ceux-là je les hais depuis toujours) qui vont m'inspirer. Vu que la dernière qu'on m'a sortie c'est "Euuuuh Manuuuue, ta boîte de bonbecs elle est vide". Vivi, elle est vide. Y a plus de bonbons chez moi. C'est fini. Déjà j'arrête d'être sympa avec tous les collègues qui m'appellent Manue, ça m'énerve. Suis pas leur copine. Y en a même un qui m'a appelée Emma. Et là j'ai failli lui fracasser la tête dans la machine à café. Parce que Emma, c'est pour des gens triés sur le volet, tu comprends. C'est un Pass V.I.P. Pas un truc de collègue.
Bref.
Aujourd'hui, dans les phrases piochées au hasard et qui m'ont interpellée...
"Certains préfèrent ce qu'ils ont raté"
"Personne ne peut vous humilier sans votre permission"
"Ceux qui ne vous aiment pas vous aiment encore moins quand ce que vous faites est bien".
Pas mal, hein?