Série de l'été: "Aïe lof, Aïe lof"
(ou pourquoi je considère mes trois semaines de vacances comme une absolue nécessité)
Episode 2: le Castostage
Quand la priorité dans la vie n'est plus de trouver un petit haut sympa pour les vacances, mais de nous inscrire, CSB et moi-même, à un stage Castorama, il devient urgent de cesser tout surmenage.
J'ai bien tenté une instrusion chez Etam Lingerie, j'ai trouvé que tout était moche, vulgaire et cher.
Alors qu'au rayon peinture de Casto, tout est beau et excitant. Cher, aussi, mais au point où j'en suis, c'est un peu comme chez IKEA, on finit par se mettre la tête dans le sac recyclable et on se dit que c'est pour notre bien futur (alors qu'un sous-tif Etam qui finira broyé pour la simple raison qu'un putain de fil s'est pris dans la braguette de ton jeans, ça ne sert à rien d'autre qu'à faire pleurer les filles).
Au rayon peinture de Casto, il y a toujours un monsieur en bleu qui finit par faire une apparition magique et par vous dire que OUI, votre instinct de bricoleuse née a eu raison de choisir le micro rouleau (ouais, ouais, celui qui te faisait glousser comme une poule, trois mois avant lors de ton premier débarquement au pays Casto, que tu te disais "y a vraiment des cons pour acheter un rouleau aussi petit")...
Heureusement, grâce aux vacances, tu te rappelles que BôPa sait TOUT faire, que BelleMa a le talent et l'envie inexprimée de prendre les rênes de la déco, et que même si CSB n'a pas d'intérêt inné pour le bricolage, ça traîne quelque part dans ses gênes et qu'il a un potentiel de dingue.
Tout miser sur les autres, voilà à quoi sert le repos.