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Le sac de Manue
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18 août 2009

Série de l'été: "Aïe lof, Aïe lof"*

(ou pourquoi je considère mes trois semaines de vacances comme une absolue nécessité)


Episode 1: le "bisous"


Parce que le jour où l'on dit "bisous" à son fournisseur juste avant de raccrocher, c'est que l'heure est grave.
Et qu'elle est d'autant plus grave que ledit fournisseur est le mari d'une collègue.
Et qu'en plus ledit fournisseur a la réputation d'être le sosie du déménageur de la pub Coca.
Et que ladite collègue a la réputation d'être une écervelée, qui a malgré tout suffisamment de neurones pour tuer à petit feu toute femelle potentiellement trop proche de son mec.

Bref.

Au moment où tu finis le mot "bisous", tu commences à comprendre le phénomène chimique de la combustion spontanée. Tu te liquéfies sur place pendant que ton collègue mâle qui a l'oreille bien pendue te regarde avec des yeux de libellule par dessus son Pécé, la bouche si grande ouverte que tu regrettes de ne pas avoir un M&Ms sous la main pour tenter un panier.

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* I laugh, I laugh en anglais correct; je me marre, je me marre, en français moyen.

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Commentaires
P
chic ! tous les trois dans la même maison, trop cool !<br /> Même pas vrai que je suis plus atteint que toi, Emma. Pourquoi tant de haine ?
A
je signe pour la même maison : j'ai tél à mon chef vendredi dernier pour savoir s'il arrivait à se passer de moi ( bah quoi ??? ) et j'ai finis par "bisous"<br /> le hic c'est qu'il a répondu... Bisous !
E
mouais, dans la même maison... chais pas... ton cas est quand même beaucoup plus grave que le mien!! (huhuhu)
P
Le bisous à la fin d'une conversation professionnelle, ça m'est déja arrivé plus d'une fois, je te rassure.<br /> Ou le ma chérie à une collaboratrice, aussi.<br /> Tu crois qu'on devrait être internés dans la même maison ?
Le sac de Manue
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