N'importe nawak
Pfiouuu.
Il est vraiment temps.
Temps d'appuyer sur "pause".
Parce que là, je ne sais pas si c'est le trop plein qui m'amène là où je suis. Ou si c'est le traitement pro-bonheur. Ou si c'est juste ma face cachée qui se décache (finalement, ptêt que 40 ans de psychanalyse ne suffiront pas, han!).
Petit florilège de mes dernières conneries:
- mettre ma boîte d'allumettes dans le congélo (et m'énerver parce que sans elles je peux me brosser pour faire cuire ma pizza... ouais ouais, celle qui est congelée, et que toi tu passes cent fois devant les allumettes qui se gèlent sans que ça t'interpelle...)
- remplir ma tasse d'eau chaude au coin café du bureau en regardant ma tasse déborder sans réagir... (j'ai inondé la moquette moche et sale, c'est triste, hein? En plus je me suis tirée incognito en rampant jusqu'à ma place, hihihi)
- mettre un paquet de Crocos Haribo dans mon panier de courses en me disant "ça c'est pour le chat"
Et dans les phrases de la semaine...
- A mon meilleur élément: "t'as fait du bon boulot, tu mériterais une semaine de vacances, mais c'est moi qui pars, c'est con, hein?"
- A mon pire élément: "I am not your father et heureusement pour toi"
- Au charcutier du Monoprix qui me dit "Mmm, ça c'est pas bon" en me croisant en pleine réflexion devant un paquet de M&Ms... "ouais mais les bleus sont aphrodisiaques".
Voilà.
Je dois être fatiguée.
Et vous, ça va bien?